Départ à 8h50 ... 4iéme semaine ! ... Arrivée à 17h.Bien dormi dans cette demeure de la fin du XVIIIe siècle, époque de Balzac que j’adore. Je trouve un peu du mobilier de son époque, surtout une horloge et la décoration du salon d’époque. Toilette et petit déjeuner à 8h, la table est déjà dressée, pain, confiture maison, fromage, croissant et café. Je quitte la maison vers 8h50, encore une belle journée qui se prépare malgré la présence de quelques nuages dans le ciel. Première partie du chemin dans les champs, pour entrer ensuite dans une vaste forêt, la forêt de Charnouveau, ensuite un joli lieu paisible à l’étang de la Ferrauderie,
avec les ruines dans petit château ou grosse demeure. De nouveau je joue au Pèlerin des bois, je passe sur le côté de Chateauneuf-val-de-bargis, un peu de route, avant de retrouver le chemin et encore une dizaine de kilomètre dans le massif forestier des Bertranges, dont l’histoire remonte au début du XIIe siècle. Cette forêt s’étend sur plus de 7600 hectares, s’agit donc de bien suivre le balisage !!! Heureusement, celui-ci est correctement implanté, bien que quelques arbres aient été coupés depuis, je sors de la forêt pour passer à Raveau et au hameau de « la vache bien sympathique ». J’arrive enfin à la Charité-Sur-Loire un peu avant 17h00. La Loire est impressionnante à cet endroit, la Charité fut une dépendance de L’Abbaye de Cluny et devint aussi un centre important commercial sur la route de Compostelle. L’hôtel « Du bon laboureur » se trouve sur l’île du Faubourg entourée de la Loire. J’ai la chambre numéro 15, une toute petite chambre mais avec douche et wc. Je me repose un peu après la douche avant de sortir faire quelques photos des ponts et de la ville. Je passe devant un atelier de peinture, il y a 4 dames qui prennent des cours de peinture donnés par Eska, l’atelier s’appelle « l’Atelier de la pointé » je discute avec sophie (Eska) née en 1958 à Paris, de sa technique, elle me montre un peu ce qu’elle fait. Je vais boire une bière au petit bar en face de l’hôtel, mais il ne me plait pas beaucoup, je rentre à l’hôtel vers 18h30, compléter mon diario, et comme je n’ai pas faim et que surtout j’ai pas envie de ma taper l’autre côté de la ville, je reste à l’hôtel et regarde le journal de France2.
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