Départ à 8h15 ...En Dordogne... Arrivée à 18h15.
Réveil à 6h30, petit déjeuner et sur le chemin à 8h15. Aujourd’hui je ne sais pas où je vais loger. J’avais téléphoné hier soir et l’on m’a répondu de téléphoner demain matin. Donc vers 9h, je téléphone à l’hôtel à Saint-Jean de Cole mais tout est complet ! Donc changement de programme il faut que j’aille jusqu’à Brantôme en modifiant et coupant le gr. Heureusement car au final j’aurai 51 km. A Saint-Saud, je trouve un bureau de poste ouvert, j’en profite pour me délester de quelques dépliants touristiques et autres cartes postales, que j’envoie à Danaé, il en a pour 360gr, c’est toujours ça en moins à porter ! J’en profite pour prendre un café dans un bar sur la place où la majorité des
clients sont anglais. Il y a une sorte d’invasion anglaise dans le sud de la France, j’en rencontre un peu partout et beaucoup sur la route dans leurs voitures avec conduite à droite. Ensuite, comme je suis hors gr je suis de petites départementales sympas et sans trop de circulation. A la Rebiere, je rencontre un monsieur qui est entrain de nettoyer sa boîte aux lettres, nous discutons aimablement pendant une vingtaine de minutes. Je reprends le chemin le cœur joyeux car ce sont souvent de petites rencontres comme celles-là qui redonnent du courage, et un élan pour encore de l’avant. Heureusement car la journée n’est pas très souriantes aujourd’hui, un temps très nuageux. Mais je suis loin d’être au bout de mes efforts, et pourtant je marche assez vite, je suis sur route le plus souvent et je gagne du temps. J’arrive à 
Brantôme, surnommé la « petite Venise du Périgord » car la petite citée fût bâtie sur une petite île sertie par la Dronne. Il y a aussi une importante abbaye bénédictine fondée à l’époque de Charlemagne. Je vais à l’office du tourisme, mais il est déjà 18 h, et on ferme. J’ai juste le temps de recevoir le dépliant sur les hôtels. En sortant, je rencontre un pèlerin hollandais qui comme moi cherche un logement, mais un monsieur lui a dit qu’il y avait un hôtel pas trop cher et très bien, nous nous rendons alors à l’hôtel Alienor et il y a des chambres libres, 
super ! Il est déjà 18h30, et nous allons souper tous les deux un peu plus loin au restaurant « Au fil de l’eau » sur l’île. Une salade de gésiers et jambon cru, une matelote de poissons d’eau douce, un dessert et un chardonnay. Retour à l’hôtel sous la pluie, car cette journée fut assez pluvieuse, on termine dans le ton.
Réveil à 6h30, petit déjeuner et sur le chemin à 8h15. Aujourd’hui je ne sais pas où je vais loger. J’avais téléphoné hier soir et l’on m’a répondu de téléphoner demain matin. Donc vers 9h, je téléphone à l’hôtel à Saint-Jean de Cole mais tout est complet ! Donc changement de programme il faut que j’aille jusqu’à Brantôme en modifiant et coupant le gr. Heureusement car au final j’aurai 51 km. A Saint-Saud, je trouve un bureau de poste ouvert, j’en profite pour me délester de quelques dépliants touristiques et autres cartes postales, que j’envoie à Danaé, il en a pour 360gr, c’est toujours ça en moins à porter ! J’en profite pour prendre un café dans un bar sur la place où la majorité des
clients sont anglais. Il y a une sorte d’invasion anglaise dans le sud de la France, j’en rencontre un peu partout et beaucoup sur la route dans leurs voitures avec conduite à droite. Ensuite, comme je suis hors gr je suis de petites départementales sympas et sans trop de circulation. A la Rebiere, je rencontre un monsieur qui est entrain de nettoyer sa boîte aux lettres, nous discutons aimablement pendant une vingtaine de minutes. Je reprends le chemin le cœur joyeux car ce sont souvent de petites rencontres comme celles-là qui redonnent du courage, et un élan pour encore de l’avant. Heureusement car la journée n’est pas très souriantes aujourd’hui, un temps très nuageux. Mais je suis loin d’être au bout de mes efforts, et pourtant je marche assez vite, je suis sur route le plus souvent et je gagne du temps. J’arrive à 
Brantôme, surnommé la « petite Venise du Périgord » car la petite citée fût bâtie sur une petite île sertie par la Dronne. Il y a aussi une importante abbaye bénédictine fondée à l’époque de Charlemagne. Je vais à l’office du tourisme, mais il est déjà 18 h, et on ferme. J’ai juste le temps de recevoir le dépliant sur les hôtels. En sortant, je rencontre un pèlerin hollandais qui comme moi cherche un logement, mais un monsieur lui a dit qu’il y avait un hôtel pas trop cher et très bien, nous nous rendons alors à l’hôtel Alienor et il y a des chambres libres, 
super ! Il est déjà 18h30, et nous allons souper tous les deux un peu plus loin au restaurant « Au fil de l’eau » sur l’île. Une salade de gésiers et jambon cru, une matelote de poissons d’eau douce, un dessert et un chardonnay. Retour à l’hôtel sous la pluie, car cette journée fut assez pluvieuse, on termine dans le ton.
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